Mieux-être

Les lieux de travail ont changé à la suite de la pandémie de COVID-19. Les entreprises doivent trouver des outils pour soutenir leurs travailleurs et les avocats doivent trouver des outils pour se soutenir.

Quand on me demande pourquoi j’ai quitté la pratique privée, je jette habituellement le blâme sur mon mari. J’explique qu’au moment de notre mariage, il était déjà associé du cabinet où j’étais avocate adjointe. Il était logique que je sois celle qui parte. La vérité est un peu plus compliquée.

La nouvelle série de webinaires de l'ACCJE, « À l'interne avec les conseillers juridiques d'entreprise », est une occasion pour vous de rencontrer des collègues membres de partout au pays et d'apprendre comment ils gèrent les problèmes les plus urgents.

Je lisais un grand nombre de livres, d’articles et de sites Web sur le développement de carrière et la satisfaction professionnelle, et je parlais à quiconque voulait bien répondre à mes courriels. Cependant, la personne à qui je devais vraiment parler, c’était moi.

Il existe toute une gamme de tests d’auto-évaluation que les avocats internes peuvent entreprendre pour tout apprendre, de leur intelligence émotionnelle à leur style de communication.

Le défi pour moi, comme pour tous les conseillers juridiques d’entreprise et les avocats qui se sentent « engagés », consiste à nous assurer de promouvoir une amélioration de la situation. Le fait que nous « faisons partie » de quelque chose doit servir à aider plus de personnes qui s’identifient à nous à « être là » pour commencer, afin qu’elles aussi puissent sentir qu’elles en « font partie ».