Devenir un conseiller de confiance : Michael Ladha, JEA.C

  • 13 mars 2020
  • Lynne Yryku

Devenir un conseiller de confiance : Michael Ladha, JEA.C

Pour être un bon juriste d’entreprise, il faut des connaissances en commerce et en finances. Les avocats sont formés pour être les gardiens de l’intégrité des entreprises, mais plusieurs ont compris que pour réussir et prospérer, il faut aller plus loin et se forger une réputation de conseiller de confiance.

Le Programme de leadership en entreprise pour les juristes d’entreprise (PLEJE) vous attend. Offert par la Rotman School of Management en collaboration avec l’ACCJE, c’est le seul programme du genre au Canada. En combinant leur expérience de juriste à une vision d’affaires stratégique, ses diplômés bénéficient d’un solide avantage concurrentiel. Vous hésitez? Voici les témoignages de cinq diplômés récents.

En savoir plus et s’inscrire : www.ccca-accje.org.

Michael Ladha, JEA.C

« Plus j’acquiers de l’ancienneté, et plus mes collègues cadres et dirigeants prennent conscience de mon expertise, plus mes fonctions de juriste d’entreprise et de conseiller d’affaires se chevauchent », explique Michael Ladha, conseiller juridique et secrétaire général adjoint chez Newfoundland and Labrador Hydro.

Recherchant constamment des moyens d’être impliqué davantage, il s’est inscrit au PLEJE, qu’il a trouvé très utile et pertinent. « Grâce à ce programme, je me sens plus apte à siéger à la table de la direction à titre de conseiller d’affaires, au lieu de me limiter à dispenser des conseils juridiques. »

Il aspire aussi à travailler sur des dossiers stimulants au sein de son organisation afin de se développer des liens avec ses collègues. « J’ai énormément à apprendre des gens qui ont passé une partie importante de leur carrière chez nous. Ce savoir institutionnel est aussi important que n’importe quel titre universitaire. »

Le réseautage avec des juristes d’entreprise de tous les coins du Canada a été l’un des points forts du PLEJE pour Michael. « Malgré la diversité des secteurs d’activité et des régions représentés dans la classe, la majorité des gens vivaient les mêmes préoccupations au sein de leur organisation. C’est rassurant de savoir qu’on n’est pas seul et qu’on peut discuter de problèmes communs et apprendre les uns des autres. »

« J’ai fait l’expérience de plusieurs programmes de perfectionnement professionnel, conclut-il, et celui-ci est le plus professionnel et le mieux organisé auquel j’ai participé. »

Lynne Yryku est rédactrice en chef de l'Édition interne de l'ACCJE.